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11
juil.
Famille

VERNISSAGE des Project Rooms

kideaz copyright event konschthal esch  vernissage des project rooms ©Photo : Konschthal Esch
De 18h00 à 23h45
Konschthal Esch - 29-33 Boulevard Prince Henri | L-4280 ESCH-SUR-ALZETTE

🎊 La Konschthal Esch inaugure quatre Project Rooms:

_𝐅𝐈𝐍𝐀𝐋_𝐅𝐈𝐍𝐀𝐋 – 𝐉𝐞𝐫𝐞𝐦𝐲 𝐏𝐚𝐥𝐥𝐮𝐜𝐞

𝐃𝐄𝐒𝐈𝐑𝐄𝐋𝐈𝐍𝐄𝐒/𝐀𝐑𝐂𝐇𝐈𝐕𝐄/𝐋𝐎𝐎𝐏𝐒 – 𝐉𝐮𝐥𝐢𝐞𝐧 𝐇𝐮̈𝐛𝐬𝐜𝐡 

𝐑𝐔𝐑𝐀𝐋𝐄 𝐁𝐑𝐔𝐓𝐀𝐋𝐄- 𝐂𝐥𝐚𝐮𝐝𝐢𝐚 𝐏𝐚𝐬𝐬𝐞𝐫𝐢 

𝐑𝐄𝐆𝐍𝐎 𝐀𝐌𝐈𝐂𝐀𝐋𝐄 – 𝐋𝐚𝐞𝐭𝐢𝐭𝐢𝐚 𝐑𝐨𝐦𝐚𝐧𝐢𝐧𝐢 

📅 QUAND ?

Vendredi 11.07.2025 à partir de 18h00

⬛️⬜️ LES EXPOSITIONS ⬜️⬛️

_𝐹𝐼𝑁𝐴𝐿_𝐹𝐼𝑁𝐴𝐿 – 𝐽𝑒𝑟𝑒𝑚𝑦 𝑃𝑎𝑙𝑙𝑢𝑐𝑒

Jeremy Palluce met en lumière les structures de pouvoir cachées qui émanent d’objets apparemment anodins comme p.ex. les chaises d’école ou les sèche-cheveux de piscine. En questionnant comment ces objets du quotidien véhiculent et consolident subtilement les protocoles, les normes et les attentes sociales.

Issu d’une famille d’origine italienne eschoise, il s’intéresse au positionnement par rapport aux hiérarchies préétablies, aux opportunités d’ascension sociétal et au temps lent de l’évolution culturelle.

Aux mécanismes inhibants, Jeremy Palluce oppose des contre-stratégies de rébellion. Ce faisant, il explore le pouvoir transformatif attribué à l’art, à la musique hip-hop et à la culture des jeunes, dont les aspirations à la liberté manifestent – a minima – une volonté de renouvellement. Grâce à sa pratique artistique à la fois ludique et subversive, il parvient non seulement à remettre en question certains codes culturels, mais aussi à les démasquer avec humour.

Le titre du projectroom _FINAL_FINAL fait référence à une pratique très répandue dans le travail numérique : lors de l’enregistrement et de la gestion des versions de fichiers, le terme final est utilisé pour désigner une version achevée – mais en réalité, il y a généralement une autre révision. La double répétition de final ironise sur ce processus et souligne l’impossibilité d’une version définitive. Cette pratique correspond à celle de Jeremy Palluce, car ses travaux font souvent le lien entre le passé et le présent, traitent de la transformation et du développement et ne peuvent jamais être considérées comme définitives. Comme dans le traitement numérique, il est toujours possible d’avoir une autre itération, une nouvelle interprétation ou une intervention imprévue.

𝐷𝐸𝑆𝐼𝑅𝐸𝐿𝐼𝑁𝐸𝑆/𝐴𝑅𝐶𝐻𝐼𝑉𝐸/𝐿𝑂𝑂𝑃𝑆 – 𝐽𝑢𝑙𝑖𝑒𝑛 𝐻𝑢̈𝑏𝑠𝑐ℎ 

La pratique artistique de Julien Hübsch est profondément engagée dans la dynamique de l’espace urbain, en se concentrant sur les traces matérielles de l’intervention humaine et l’esthétique évolutive du vandalisme contemporain. Son travail examine la manière dont ces traces s’inscrivent dans le tissu urbain, en s’interrogeant sur leur permanence, leur effacement et les mécanismes par lesquels elles sont assimilées ou effacées. En s’engageant dans le discours du post-vandalisme, il navigue entre les frontières changeantes de la destruction et de la création, de la transgression et de l’intégration.

Hübsch s’inspire particulièrement des compositions involontaires qui émergent sur les chantiers de construction et dans la signalisation urbaine – des assemblages éphémères façonnés par la nécessité, le hasard et la décomposition. Sa pratique cherche à extraire et à recontextualiser leurs qualités artistiques inhérentes, en incorporant souvent des matériaux trouvés comme éléments intégrants de son travail. La sensibilité picturale qu’il applique à la composition et à la couleur, combinée à une sélection délibérée des matériaux, souligne l’interaction entre la spontanéité et l’intention artistique, révélant le potentiel poétique inhérent à l’environnement urbain.

𝑅𝑈𝑅𝐴𝐿𝐸 𝐵𝑅𝑈𝑇𝐴𝐿𝐸 – 𝐶𝑙𝑎𝑢𝑑𝑖𝑎 𝑃𝑎𝑠𝑠𝑒𝑟𝑖 

Issue de l’immigration italienne, Claudia Passeri entretient avec ses origines un lien ambivalent qui s’est construit au gré de la prépondérance fluctuante des frontières, des limites géographiques, politiques, linguistiques et sociales. Ce lien a nourri sa pratique artistique et curatoriale intrinsèquement liées. Dans ses dernières recherches, elle s’intéresse surtout aux traditions et usages des milieux ruraux de l’Italie Centrale, à l’impact que certaines croyances populaires ont encore ou à nouveau sur nos styles de vie contemporains. Elle essaye d’en détourner les codes et de réinventer les récits du quotidien rural, à travers des perspectives nouvelles. Les contradictions qui apparaissent donnent naissance à une approche expérimentale qui questionne comment les lieux de la ruralité sont expériencés, représentés, et réimaginés aujourd’hui.

𝑅𝐸𝐺𝑁𝑂 𝐴𝑀𝐼𝐶𝐴𝐿𝐸 – 𝐿𝑒𝑡𝑖𝑧𝑖𝑎 𝑅𝑜𝑚𝑎𝑛𝑖𝑛𝑖

À l’instar d’une forme d’étude sur le bassin minier, Letizia Romanini fonde ses inspirations pour ce nouveau projet sur les spécificités géologiques et sur les espèces endémiques de la région. Il s’agit d’imbriquer l’évocation du passé liée à la sidérurgie et l’écoulement du temps rendant visible la vigueur écologique et de la résilience de la nature. Il est question de saisir à travers la photographie des plantes adventices pour faire apparaître la précaire fragilité de tout un écosystème. Créer un répertoire, un état des lieux d’une zone qui se manifestera au travers d’une large installation immersive.

Regno Amicale (2025) est une installation in-situ – constituée de grandes surfaces translucides accueillant des images de végétations, d’arbres et de roches – destinée à éveiller notre sensibilité à l’environnement, à la cohabitation inter-espèce et nous questionner sur nos pratiques, notre engagement à son égard et notre propre existence.

19h00 : discours

19h > minuit : DJ Lowic

📍 Entrée libre

👉 Détails sur konschthal.lu

——

𝐷𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑣𝑢𝑒 𝑝ℎ𝑜𝑡𝑜𝑠 𝑒𝑡 𝑣𝑖𝑑𝑒́𝑜𝑠 𝑠𝑒𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑣𝑒𝑟𝑛𝑖𝑠𝑠𝑎𝑔𝑒 𝑎̀ 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛.

juillet, 2025

11juil18 h 00 min- 23 h 45 minVERNISSAGE des Project Rooms18 h 00 min - 23 h 45 min Konschthal Esch, 29-33 Boulevard Prince Henri | L-4280 ESCH-SUR-ALZETTETypologie:En famille

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Détails de l'évènement

🎊 La Konschthal Esch inaugure quatre Project Rooms:

_𝐅𝐈𝐍𝐀𝐋_𝐅𝐈𝐍𝐀𝐋 – 𝐉𝐞𝐫𝐞𝐦𝐲 𝐏𝐚𝐥𝐥𝐮𝐜𝐞

𝐃𝐄𝐒𝐈𝐑𝐄𝐋𝐈𝐍𝐄𝐒/𝐀𝐑𝐂𝐇𝐈𝐕𝐄/𝐋𝐎𝐎𝐏𝐒 – 𝐉𝐮𝐥𝐢𝐞𝐧 𝐇𝐮̈𝐛𝐬𝐜𝐡 

𝐑𝐔𝐑𝐀𝐋𝐄 𝐁𝐑𝐔𝐓𝐀𝐋𝐄- 𝐂𝐥𝐚𝐮𝐝𝐢𝐚 𝐏𝐚𝐬𝐬𝐞𝐫𝐢 

𝐑𝐄𝐆𝐍𝐎 𝐀𝐌𝐈𝐂𝐀𝐋𝐄 – 𝐋𝐚𝐞𝐭𝐢𝐭𝐢𝐚 𝐑𝐨𝐦𝐚𝐧𝐢𝐧𝐢 

📅 QUAND ?

Vendredi 11.07.2025 à partir de 18h00

⬛️⬜️ LES EXPOSITIONS ⬜️⬛️

_𝐹𝐼𝑁𝐴𝐿_𝐹𝐼𝑁𝐴𝐿 – 𝐽𝑒𝑟𝑒𝑚𝑦 𝑃𝑎𝑙𝑙𝑢𝑐𝑒

Jeremy Palluce met en lumière les structures de pouvoir cachées qui émanent d’objets apparemment anodins comme p.ex. les chaises d’école ou les sèche-cheveux de piscine. En questionnant comment ces objets du quotidien véhiculent et consolident subtilement les protocoles, les normes et les attentes sociales.

Issu d’une famille d’origine italienne eschoise, il s’intéresse au positionnement par rapport aux hiérarchies préétablies, aux opportunités d’ascension sociétal et au temps lent de l’évolution culturelle.

Aux mécanismes inhibants, Jeremy Palluce oppose des contre-stratégies de rébellion. Ce faisant, il explore le pouvoir transformatif attribué à l’art, à la musique hip-hop et à la culture des jeunes, dont les aspirations à la liberté manifestent – a minima – une volonté de renouvellement. Grâce à sa pratique artistique à la fois ludique et subversive, il parvient non seulement à remettre en question certains codes culturels, mais aussi à les démasquer avec humour.

Le titre du projectroom _FINAL_FINAL fait référence à une pratique très répandue dans le travail numérique : lors de l’enregistrement et de la gestion des versions de fichiers, le terme final est utilisé pour désigner une version achevée – mais en réalité, il y a généralement une autre révision. La double répétition de final ironise sur ce processus et souligne l’impossibilité d’une version définitive. Cette pratique correspond à celle de Jeremy Palluce, car ses travaux font souvent le lien entre le passé et le présent, traitent de la transformation et du développement et ne peuvent jamais être considérées comme définitives. Comme dans le traitement numérique, il est toujours possible d’avoir une autre itération, une nouvelle interprétation ou une intervention imprévue.

𝐷𝐸𝑆𝐼𝑅𝐸𝐿𝐼𝑁𝐸𝑆/𝐴𝑅𝐶𝐻𝐼𝑉𝐸/𝐿𝑂𝑂𝑃𝑆 – 𝐽𝑢𝑙𝑖𝑒𝑛 𝐻𝑢̈𝑏𝑠𝑐ℎ 

La pratique artistique de Julien Hübsch est profondément engagée dans la dynamique de l’espace urbain, en se concentrant sur les traces matérielles de l’intervention humaine et l’esthétique évolutive du vandalisme contemporain. Son travail examine la manière dont ces traces s’inscrivent dans le tissu urbain, en s’interrogeant sur leur permanence, leur effacement et les mécanismes par lesquels elles sont assimilées ou effacées. En s’engageant dans le discours du post-vandalisme, il navigue entre les frontières changeantes de la destruction et de la création, de la transgression et de l’intégration.

Hübsch s’inspire particulièrement des compositions involontaires qui émergent sur les chantiers de construction et dans la signalisation urbaine – des assemblages éphémères façonnés par la nécessité, le hasard et la décomposition. Sa pratique cherche à extraire et à recontextualiser leurs qualités artistiques inhérentes, en incorporant souvent des matériaux trouvés comme éléments intégrants de son travail. La sensibilité picturale qu’il applique à la composition et à la couleur, combinée à une sélection délibérée des matériaux, souligne l’interaction entre la spontanéité et l’intention artistique, révélant le potentiel poétique inhérent à l’environnement urbain.

𝑅𝑈𝑅𝐴𝐿𝐸 𝐵𝑅𝑈𝑇𝐴𝐿𝐸 – 𝐶𝑙𝑎𝑢𝑑𝑖𝑎 𝑃𝑎𝑠𝑠𝑒𝑟𝑖 

Issue de l’immigration italienne, Claudia Passeri entretient avec ses origines un lien ambivalent qui s’est construit au gré de la prépondérance fluctuante des frontières, des limites géographiques, politiques, linguistiques et sociales. Ce lien a nourri sa pratique artistique et curatoriale intrinsèquement liées. Dans ses dernières recherches, elle s’intéresse surtout aux traditions et usages des milieux ruraux de l’Italie Centrale, à l’impact que certaines croyances populaires ont encore ou à nouveau sur nos styles de vie contemporains. Elle essaye d’en détourner les codes et de réinventer les récits du quotidien rural, à travers des perspectives nouvelles. Les contradictions qui apparaissent donnent naissance à une approche expérimentale qui questionne comment les lieux de la ruralité sont expériencés, représentés, et réimaginés aujourd’hui.

𝑅𝐸𝐺𝑁𝑂 𝐴𝑀𝐼𝐶𝐴𝐿𝐸 – 𝐿𝑒𝑡𝑖𝑧𝑖𝑎 𝑅𝑜𝑚𝑎𝑛𝑖𝑛𝑖

À l’instar d’une forme d’étude sur le bassin minier, Letizia Romanini fonde ses inspirations pour ce nouveau projet sur les spécificités géologiques et sur les espèces endémiques de la région. Il s’agit d’imbriquer l’évocation du passé liée à la sidérurgie et l’écoulement du temps rendant visible la vigueur écologique et de la résilience de la nature. Il est question de saisir à travers la photographie des plantes adventices pour faire apparaître la précaire fragilité de tout un écosystème. Créer un répertoire, un état des lieux d’une zone qui se manifestera au travers d’une large installation immersive.

Regno Amicale (2025) est une installation in-situ – constituée de grandes surfaces translucides accueillant des images de végétations, d’arbres et de roches – destinée à éveiller notre sensibilité à l’environnement, à la cohabitation inter-espèce et nous questionner sur nos pratiques, notre engagement à son égard et notre propre existence.

19h00 : discours

19h > minuit : DJ Lowic

📍 Entrée libre

👉 Détails sur konschthal.lu

——

𝐷𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑣𝑢𝑒 𝑝ℎ𝑜𝑡𝑜𝑠 𝑒𝑡 𝑣𝑖𝑑𝑒́𝑜𝑠 𝑠𝑒𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑒́𝑎𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑒𝑠 𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑣𝑒𝑟𝑛𝑖𝑠𝑠𝑎𝑔𝑒 𝑎̀ 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛.

HORAIRES

(Vendredi) 18 h 00 min - 23 h 45 min

Localisation

Konschthal Esch

29-33 Boulevard Prince Henri | L-4280 ESCH-SUR-ALZETTE

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