©Photo : Philharmonie
Rencontre entre des mondes sonores électroniques hybrides et une expérience physique Les paysages sonores de Maximilian Marcoll, semblables à des drones, sont décomposés numériquement en impulsions et amplifiés par des tours de haut-parleurs. L’espace devient une caisse de résonance dans laquelle le son est modifié en fonction des mouvements du public. Quant à Katharina Gryvul, elle recombine les sources sonores, remet en question l’origine du son et du corps sonore, et ajoute une couche dʼélectronique live à la sonorité de Pony Says, avant de terminer la soirée par un DJ set.