
«Une symphonie doit être comme le monde. Elle doit tout contenir.» Le moins qu’on puisse dire, c’est que Gustav Mahler était ambitieux! Pour son ami, le compositeur Alban Berg, la Symphonie N° 9 représentait «le sommet de tout, sur Terre et en rêve». C’est donc une ouverture de saison des plus sensationnelles qui s’annonce à la Philharmonie, alors que Kirill Petrenko et les Berliner Philharmoniker relèvent le défi et s’attaquent à l’œuvre-phare de Mahler. Un programme aux proportions épiques à ne pas manquer!