Les collections ne sont, en général, exposées que dans une faible mesure. Une large part des œuvres d’art ne voit que très rarement la lumière du jour, voire jamais. Que se passerait-il si, au lieu de choisir des œuvres, on donnait à voir la collection dans son état naturel ? Non pas pour déplorer sa vie dans l’ombre, mais au contraire la rendre compréhensible et sensationnelle, dans tous les sens du terme. Pour ce faire, il faut utiliser des critères quantitatifs plutôt que thématiques ou formels. Il faudrait par ailleurs intégrer l’ensemble des outils à disposition – caisses, fichiers Excel, jpegs, matériel utilisé en coulisses – comme éléments clés du processus de conservation.
L’objectif est d’essayer de transformer une collection publique en quelque chose que l’on peut saisir intellectuellement et physiquement. Ainsi, a-t-il été décidé d’exposer la plus grande partie possible de la collection.
Cependant, la démarche qui consisterait à entasser les œuvres dans les salles serait autrement plus biaisée que celle qui exige de définir des paramètres clairs. C’est pourquoi nous avons proposé les critères suivants :
Dans les galeries, nous n’avons retenu qu’une seule œuvre par artiste : celle qui apparaît en premier dans le registre d’inventaire. Ensuite, nous avons exclu les œuvres accompagnées d’instructions d’accrochage ou d’une documentation peu claire.
Parmi le reste, nous avons commencé par le plus petit objet, de manière à produire un effet « Noix du Brésil » : les éléments plus petits se séparent des plus grands pour former, comme de leur propre gré, un nouvel arrangement visuel.
Les objets bidimensionnels restants sont exposés par dimension dans la galerie Est. D’autres œuvres sont présentées par ordre alphabétique (nom de famille de l’artiste) dans la galerie Ouest. Les œuvres sculpturales sont également exposées dans la galerie Ouest. Les œuvres audiovisuelles sont diffusées dans l’Auditorium.
La plus grande part possible d’objets restants est conservée dans leurs caisses. Nous les utilisons pour créer une scénographie qui sert de cadre aux débats, à la programmation culturelle et à bien d’autres événements encore.
Les collections ne sont, en général, exposées que dans une faible mesure. Une large part des œuvres d’art ne voit que très rarement la lumière du jour, voire jamais. Que se passerait-il si, au lieu de choisir des œuvres, on donnait à voir la collection dans son état naturel ? Non pas pour déplorer sa vie dans l’ombre, mais au contraire la rendre compréhensible et sensationnelle, dans tous les sens du terme. Pour ce faire, il faut utiliser des critères quantitatifs plutôt que thématiques ou formels. Il faudrait par ailleurs intégrer l’ensemble des outils à disposition – caisses, fichiers Excel, jpegs, matériel utilisé en coulisses – comme éléments clés du processus de conservation.
L’objectif est d’essayer de transformer une collection publique en quelque chose que l’on peut saisir intellectuellement et physiquement. Ainsi, a-t-il été décidé d’exposer la plus grande partie possible de la collection.
Cependant, la démarche qui consisterait à entasser les œuvres dans les salles serait autrement plus biaisée que celle qui exige de définir des paramètres clairs. C’est pourquoi nous avons proposé les critères suivants :
Dans les galeries, nous n’avons retenu qu’une seule œuvre par artiste : celle qui apparaît en premier dans le registre d’inventaire. Ensuite, nous avons exclu les œuvres accompagnées d’instructions d’accrochage ou d’une documentation peu claire.
Parmi le reste, nous avons commencé par le plus petit objet, de manière à produire un effet « Noix du Brésil » : les éléments plus petits se séparent des plus grands pour former, comme de leur propre gré, un nouvel arrangement visuel.
Les objets bidimensionnels restants sont exposés par dimension dans la galerie Est. D’autres œuvres sont présentées par ordre alphabétique (nom de famille de l’artiste) dans la galerie Ouest. Les œuvres sculpturales sont également exposées dans la galerie Ouest. Les œuvres audiovisuelles sont diffusées dans l’Auditorium.
La plus grande part possible d’objets restants est conservée dans leurs caisses. Nous les utilisons pour créer une scénographie qui sert de cadre aux débats, à la programmation culturelle et à bien d’autres événements encore.
HORAIRES
Juillet 4 (Mardi) 19 h 00 min - Février 18 (Dimanche) 20 h 00 min
Pour ce tout nouveau numéro, nous avons consacré notre magazine à nos amies tortues marines et terrestres. Little Kideaz n°9 est déjà disponible dans notre boutique en ligne, alors n'attendez plus pour le commander !
C'est pour qu'on t'affiche les meilleurs résultats en fonction de ton secteur.
Eh oui, Kideaz c'est la world company on est partout ;) Fais alors ton choix ci-dessous :
Notre site utilise des cookies ( parce que c'est bon ) mais faut pas en abuser.